Le livret de la neuvaine à Notre Dame de la Médaille miraculeuse est disponible !
15 novembre 2022
Avec cette neuvaine à Notre Dame de la Médaille miraculeuse, osons demander les grâces de la Médaille de « Marie, Immaculée Conception » (de son vrai nom), à la lumière de l’histoire de la France chrétienne, avec saint Vincent de Paul et sainte Catherine Labouré. Dans la nuit du 18 au 19 juillet 1830, Marie dit à la jeune novice : « Venez au pied de cet autel. Là, les grâces seront répandues sur tous ceux qui les demanderont avec confiance. » La Sainte Vierge nous attend ! Je commande le livret
Cette neuvaine à Notre Dame de la Médaille miraculeuse a été rédigée par le Père Jean-Yves Jaffré, prêtre lazariste missionnaire, en collaboration avec l’Association Prier Marie de Nazareth. 

Introduction

Saint Vincent de Paul (1581-1660), apôtre de la Charité, fut le conseiller et confesseur du roi Louis XIII qui consacra le 10 février 1638 la France à la Sainte Vierge. 
Il apparut en songe à Catherine Labouré (née le 2 mai 1806 à Fain-les-Moutiers et rappelée à Dieu à Reuilly le 31 décembre 1876). C’était à Fain en Côte d’Or. Elle avait 18 ans. Voici donc l’origine de la vocation de la jeune fille, dans un songe : alors qu’elle priait en l’église de Fain-les-Moutiers en la chapelle de la Sainte Vierge, Catherine vit un prêtre en ornements sacerdotaux y célébrer la messe sur l’autel blanc aux moulures d’or... Il lui fit signe d’approcher. Effrayée, elle s’éloigna… Elle alla rendre visite à un malade (toujours en songe). Le vieux prêtre l’y retrouva et lui dit : « Ma fille, c’est bien de soigner les malades. Vous me fuyez maintenant, mais un jour vous serez heureuse de venir à moi. Dieu a ses desseins sur vous. Ne l’oubliez pas ! » Elle s’éloigna à nouveau, toujours craintive, mais elle eut chaud dans le cœur, « ses pieds ne touchèrent plus la terre ». En passant le porche de la maison paternelle, elle s’éveilla. Ce n’était qu’un songe, mais comme les pèlerins d’Emmaüs, Catherine pourra dire : « Notre Cœur n’était-il pas tout brûlant lorsqu’il nous expliquait les Écritures ? (Luc 24, 32) » Ce n’était qu’un songe, mais ce fut un élan nouveau pour Catherine… Elle ébaucha alors des projets pour entrer chez les Sœurs « Filles de la Charité ».


Chantons avec des paroles de saint Vincent (cf. CD « Jésus par la France, Ses Saints ») :

« SAINT VINCENT DE PAUL, SERVITEUR des PAUVRES,                    
Conduisez-nous, donnez-nous, de voir Jésus au cœur des plus petits. 
  • 1/ Si nous demeurons dans la charité, si nous sommes sauvés, c’est grâce à Dieu et à l’Oraison.           
  •      Si nous persévérons dans notre vocation, Si nous réussissons dans nos emplois, c’est grâce à l’oraison. 
  •      Si nous ne tombons pas dans le péché, c’est grâce à l’oraison. 
  •      Donnez-moi un homme d’oraison et il sera capable de tout.
  • 2/ Aimons Dieu, mes frères, aimons Dieu, mais que ce soit aux dépens de nos bras… à la sueur de nos visages. 
  •     Il faut passer de l’amour affectif à l’amour effectif, alors, « ce n’est point quitter Dieu que quitter Dieu pour Dieu » 
  •     Rien n’est plus conforme à l’Évangile que de joindre le service de Marthe à la contemplation de Marie… 
  • 3/ Si nous avons de l’Amour, nous le devons montrer en portant les peuples à aimer Dieu et le prochain, 
  •      A aimer le prochain pour Dieu et Dieu pour le prochain. Embraser les cœurs des hommes… de Son Amour.
  •      Faire ce que le Fils de Dieu a fait… Mettre le Feu au monde… Envoyé pour aimer Dieu et pour le faire aimer.

Monsieur Vincent écrivit : « Si nous avons de l’Amour, nous le devons montrer en portant les peuples à aimer Dieu et le prochain, à aimer le prochain pour Dieu et Dieu pour le prochain… Notre vocation est donc d’aller, non en une paroisse, ni seulement en un évêché, mais par toute la Terre ; et quoi faire ?... Embraser les cœurs des hommes, faire ce que le Fils de Dieu a fait, Lui qui est venu mettre le feu au monde afin de l’embraser de son Amour… Il est donc vrai que je suis envoyé, non seulement pour aimer Dieu, mais pour le faire aimer. Il ne suffit pas d’aimer Dieu, si mon prochain ne l’aime. »
Jésus et Marie en révélant leurs deux Cœurs à sainte Marguerite-Marie puis aux enfants de Fatima, demanderont la confession des premiers vendredis et premiers samedis du mois. Le 19 juillet 1830, en la fête de saint Vincent de Paul, Marie apparut à Catherine Labouré, alors novice. Le cœur lui-même de M. Vincent lui apparut, il se trouve aujourd’hui en reliquaire sur l’autel d’origine où la Vierge nous donna sa médaille dite « miraculeuse » et sur laquelle figurent les deux Cœurs unis.
Entrons dans cette neuvaine avec Sainte Catherine en nous laissant saisir le cœur par le regard du Christ à travers celui de saint Vincent de Paul, l’Apôtre de la Charité. Saint Vincent de Paul, conduisez-nous à votre suite, du Cœur de Dieu aux cœurs des pauvres et du cœur des pauvres au Cœur de Dieu. Chantons avec vous, dont le cœur mystique veille sur nous, avec, en et auprès des Cœurs unis de Jésus, Marie & Joseph. Je commande le livret

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