Neuvaine à la Miséricorde divine
27 février 2023

Neuvaine à la Miséricorde divine 

Du 7 au 15 avril prochain, nous vous proposons de prier la belle neuvaine à la Miséricorde divine.  Je m'inscris à la neuvaine Cette neuvaine à la Miséricorde divine est celle que Jésus a demandé d’écrire et de faire prier à sainte Faustine, avant la fête de la Miséricorde, le premier dimanche après Pâques. Elle peut également être priée toute l’année. Pour rappel, la fête de la Miséricorde divine a été instituée par le pape Jean-Paul II le 30 avril 2000, jour de la canonisation de sœur Faustine Kowalska (1905-1938), à Rome. À cette occasion, Jean-Paul II déclara : « Désormais, le deuxième dimanche de Pâques, dans toute l’Église, prendra le nom de "dimanche de la Divine Miséricorde". »  En 1924, la jeune polonaise Helena Kowalska, de son nom de baptême, a une première apparition de Jésus, sous la forme du Christ souffrant, qui lui demande d’entrer au couvent. Il s’agit là du commencement d’une relation étroite entre le Christ et la jeune mystique. Dans son Petit Journal, écrit à la demande de son directeur spirituel, le bienheureux Michał Sopoćko, sœur Faustine relate les nombreuses apparitions qu’elle a eues de Jésus, qui lui demanda personnellement et à plusieurs reprises de faire connaître sa Divine Miséricorde.  En ce qui concerne la neuvaine, Jésus s’est ainsi exprimé à sœur Faustine : « Fais-moi connaître, et, chaque année, du Vendredi saint – journée toujours fatidique pour toi – au dimanche in Albis, prie la neuvaine à la Divine Miséricorde pour ramener à moi tous ceux dont il y est fait mémoire. »  Je m'inscris à la neuvaine Cette neuvaine à la Miséricorde divine est complétée par de belles méditations inédites du père Henri-Marie Mottin, ancien responsable des prêtres, des diacres et des séminaristes de la communauté de l’Emmanuel et co-auteur du livre Le tableau de Jésus miséricordieux, avec Violetta Wawer, présidente de l’association Pour La Miséricorde Divine

Introduction du père Henri-Marie Mottin 

« Un soir, dans ma cellule, je vis Jésus vêtu d’une tunique blanche,
une main levée pour bénir, la seconde touchait son vêtement sur la poitrine.
De la tunique entr’ouverte sortaient deux grands rayons, l’un rouge, l’autre pâle.
Je fixais le Seigneur en silence, l’âme saisie de crainte, mais aussi d’une grande joie.
Après un moment, Jésus me dit : "Peins un tableau de ce que tu vois,
avec l’inscription ′Jésus, j’ai confiance en toi !′
Je désire qu’on honore cette image, d’abord dans votre chapelle,
puis dans le monde entier." »
Je m'inscris à la neuvaine Alors que nous nous apprêtons à prier la neuvaine à la Miséricorde divine, selon une habitude déjà acquise ou pour la première fois, il est heureux de relire ainsi le récit que Faustine nous donne de ce moment fondateur de tout le culte à la miséricorde, tel que Jésus lui en a donné connaissance. Du Vendredi saint, « jour de la joie de son Cœur » (Cantique 3, 11), au terme de l’octave pascale, « unique jour de Pâques, jour de fête et de joie », Jésus nous invite à nous unir à son intercession pour tous les hommes, comme en écho et en prolongement de sa propre prière au Cénacle : « Ce n’est pas pour eux seulement que je prie, mais encore pour ceux qui, grâce à leur parole, croiront en moi » (Jn 17, 20). Cette intercession, nous en trouvons un autre écho dans la liturgie même de l’Église, le Vendredi saint lors de l’office de la Passion, avant la vénération de la Croix. Cette intercession solennelle et universelle prend là une dimension quasi sacramentelle, tout orientée vers le Cœur transpercé du Crucifié, exposé à nos regards. Que notre prière personnelle de la neuvaine à la Miséricorde divine vienne donc déployer, jusque dans la joie pascale, cette supplique du Seigneur à son Père pour que tous s’ouvrent à la miséricorde qui s’offre à eux ! Prions avec confiance ! Je m'inscris à la neuvaine

Note aux lecteurs : 

Si cette neuvaine est dite avant la fête de la Miséricorde, il faut l’accompagner chaque jour avec le chapelet à la Miséricorde divine, parce que le Seigneur Jésus désire la neuvaine du chapelet pour se préparer à cette fête. Il dit au sujet de la neuvaine du chapelet : « Pendant cette neuvaine, j’accorderai aux âmes toutes sortes de grâces » (Jésus à sœur Faustine, Petit Journal, 796). Si nous récitons avec confiance la neuvaine que Jésus a demandée à sœur Faustine, nous pouvons recevoir des grâces, car la promesse concrète attachée à cette neuvaine ne concerne pas que sœur Faustine. Je m'inscris à la neuvaine

Cette neuvaine à la Miséricorde divine vous sera envoyée gracieusement par email, du 7 au 15 avril 2023, par l’Association Prier Marie de Nazareth, 75 rue de Lourmel - 75015 Paris - neuvaines@mariedenazareth.com. Pour être sûr de recevoir les emails de la neuvaine, merci d'ajouter lettre@mariedenazareth.org à vos contacts.

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