A propos

  • Comment est-il possible d'établir un calendrier de la vie de Jésus ?

Les extraordinaires visions de Maria Valtorta sont tellement nombreuses (652) qu'elles ont permis de reconstituer un calendrier de Jésus au jour le jour, qui est très précis pour toute la partie de la vie publique du Christ. 

Ce calendrier a été établi par Jean Aulagnier(1) et révisé par Jean-François Lavère (2).

Maria Valtorta, elle, n'avance aucune date.

Pourtant son récit comporte une masse d'indices chronologiques. Il y en a plus de cinq mille, indépendants entre eux pour beaucoup. Tous sont parfaitement cohérents et compatibles les uns avec les autres, ce qui du point de vue scientifique est statistiquement inexplicable : Un mathématicien a estimé, d'après les données fournies, que la probabilité était de 1 sur 1084, soit un nombre gigantesque relevant plus du miracle que des statistiques. Cette cohérence est d'autant plus étonnante que Maria Valtorta a reçu ses visions dans le désordre.

Jésus nous explique :

"Des nécessités de réconfort et d’instruction pour toi, ma bien-aimée, et pour d’autres, m’ont contraint à suivre un ordre spécial pour donner les visions et les dictées qui s’y rapportaient. Mais je vous indiquerai, au moment voulu, comment répartir les épisodes des trois années de vie publique.

L'ordre des évangiles est bon, mais pas parfait chronologiquement. Un observateur attentif le remarque. Celui qui aurait pu donner l'ordre exact des faits – puisqu’il était resté avec moi depuis le commencement de l'évangélisation jusqu'à mon Ascension -, ne l'a pas fait. En effet Jean, en vrai fils de la Lumière, s'est occupé et préoccupé de faire transparaître la Lumière à travers son vêtement de chair aux yeux des hérétiques qui attaquaient la réalité de la Divinité enfermée dans une chair humaine. Le sublime évangile de Jean a atteint son but surnaturel, mais la chronique de ma vie publique n'en a pas été aidée.

Les trois autres évangélistes sont semblables en ce qui concerne les faits, mais ils altèrent l'ordre du temps, car un seul des trois a été présent à presque toute ma vie publique: Matthieu, et il ne l'a mise par écrit que quinze ans plus tard. Quand aux autres, ils l'ont fait encore plus tard, et après en avoir entendu le récit de ma Mère, de Pierre, ainsi que des autres apôtres et disciples." (11)

 

  •  Comment Maria Valtorta reçoit ses dictées et visions ?

Maria Valtorta écrit ce que lui dicte Jésus, ou décrit ce qui se présente à elle.  

S'il s'agit d’une dictée, et qu’elle se rapporte à un passage de la Bible, Jésus commence par lui faire ouvrir le Livre au passage qu'Il veut expliquer.

Si c’est une vision, elle a d’abord une image initiale qui est généralement le point culminant de la vision, puis elle se déroule dans l’ordre.

Maria Valtorta entend les sons, sent les odeurs, elle peut se retourner, regarder à droite à gauche. 

Elle note elle-même ses visions au moment-même où elles se présentent à elle, on peut donc dire que c’est une "pure source". 

Elle doit posséder une très grande mémoire visuelle et une grande attention à toutes sortes de détails car cette œuvre est d’une précision extraordinaire. 

Jésus insiste pour une fidélité du récit jusque dans ses détails, et ce sont eux qui vont donner une multitude de preuves scientifiques de la véracité de cette œuvre. 

 

  • Est-ce un roman ?

Jésus nous dit :

J'ai dicté à Maria Valtorta, âme-victime, une œuvre merveilleuse. De cette œuvre, Je suis l'Auteur" (3), "Maria est ma plume, rien de plus. C'est moi l'écrivain. Il s'agit de ma pensée" (4)

Ce n'est donc pas un roman, mais Jésus permet néanmoins "par pitié pour les âmes" que l'on considère cette oeuvre comme un écrit humain, "afin que tous, tous, tous puissent boire à la Source de vie de ma Parole, même ceux qui n’imaginaient pas me rencontrer en lisant un livre" (5)

Jésus explique que cette œuvre est : 

"Le livre vivant et une parfaite connaissance de Moi et de mon temps" (6) afin de "percevoir Dieu non plus comme une idée abstraite, mais comme une présence réelle qui nous donne une force et une paix nouvelle" (7) C’est la "La Bonne Nouvelle Ré-évangélisée" (5) "à laquelle est réservé un grand succès dans l’Eglise régénérée" (3), "Un don extraordinaire" (5) "voulue par la Sagesse et la Divine Providence pour les temps nouveaux, une source d’eau vive et pure. C’est Moi, la Parole vivante et éternelle, qui Me suis de nouveau donné en nourriture aux âmes que J’aime." (3)

 

  • Pourquoi cette oeuvre est-elle importante aujourd'hui ?

"Les églises sont vides ? À demi-vides ? Entrons dans les maisons !" (8)

Jésus explique en détail les raisons de cette oeuvre dans le dernier chapitre, "L'adieu à l'Oeuvre"

 

  • Pourquoi Jésus a-t-il voulu que cette œuvre soit vérifiable scientifiquement ?

Jésus a voulu que cette œuvre soit scientifiquement irréprochable, afin de répondre aux exigences rationnelles de notre époque.

"Nous avons affaire à un monde obtus et mauvais — même dans les milieux ecclésiastiques —, à un monde qui ne se soucie guère de relire ces écrits pour pouvoir y reconnaître ma présence et les approuver, mais qui porte toute son attention à éplucher l’ouvrage dans le seul dessein d’y trouver un mot qui puisse passer pour une erreur théologique ou simplement historique, que ce soit dû à l’écriture incertaine de l’écrivain ou à une erreur du copiste. C’est la pure vérité. J’agis donc en sorte que leur animosité soit déçue." (9)

Ainsi, Jésus insiste pour que Maria Valtorta note tous les détails perçus lors de ses visions.

"Souviens-toi d'être tout à fait scrupuleuse pour répéter ce que tu vois. Même une bagatelle a de la valeur […] dans la hâte d'écrire, et à cause de ton état particulier de santé et de l'ambiance où tu te trouves, il t'arrive d'omettre quelque détail. Il faut l'éviter, mets-les au bas des pages mais indique-les tous. Ce n'est pas un reproche mais un doux conseil de ton Maître." (10)

À l’époque, même Maria Valtorta ne comprend pas pourquoi Jésus lui demande de noter tous ces détails. On le comprendra seulement des décennies plus tard, grâce au polytechnicien Jean Aulagnier. Ses travaux sur l’œuvre prouvent sa véracité, que ce soit en archéologie, en astronomie, en géographie, en histoire, en botanique, en ethnologie… puis c’est au tour de l’ingénieur Jean-François Lavère, qui confirmera et approfondira le travail de Jean Aulagnier sur cette œuvre unique dans l’histoire de l’humanité.

 

(1) Polytechnicien, auteur de :

- "Avec Jésus, au jour le jour" (éditions Résiac)

- "Maria Valtorta, qui es-tu ?" (éditions Résiac)

(2) Ingénieur, auteur de :

- "L'Enigme Valtorta", tomes 1 & 2 (éditions Rassemblement à Son image)

- "Dictionnaire géographique de l'Evangile d'après Maria Valtorta" (éditions Rassemblement à Son image)

- "Dictionnaire des personnages de l'Evangile selon Maria Valtorta", co-écrit avec François-Michel Debroise et Mgr René Laurentin (éditions Salvator)

(3) Mgr Ottavio Michelini « Confidences de Jésus à ses prêtres et à ses fidèles » (éditions du Parvis)

(4) "Les Cahiers de 1945 à 1950", dictée du 2 juin 1946 (Centro Editoriale Valtortiano)

(5) "Les Carnets" (Centro Editoriale Valtortiano) sortie prévue fin 2018

(6) "Les Cahiers de 1945 à 1950", dictée du 10 avril 1947 (Centro Editoriale Valtortiano)

(7) "L'Evangile tel qu'il m'a été révélé", ch 180.3 (Centro Editoriale Valtortiano)

(8) "Les Cahiers de 1945 à 1950", dictée du 2 juin 1946 (Centro Editoriale Valtortiano)

(9) "Les Cahiers de 1943", dictée du 21 janvier (Centro Editoriale Valtortiano)

(10) "Les Cahiers de 1944", dictée du 25 janvier (Centro Editoriale Valtortiano)

(11) "L'Evangile tel qu'il m'a été révélé", ch 468.1 (Centro Editoriale Valtortiano)