France : la vocation de servir les Cœurs unis de Jésus et de Marie
À l’heure du multiculturalisme est-il possible d’oser parler de vocation spécifique pour chaque nation et tout particulièrement d’une vocation pour la France ? Et si tel est le cas, quelle est cette vocation de la nation France ? Notre pays, présenté aujourd’hui comme un « archipel multiculturel » plutôt que comme une nation Une, a-t-il encore les moyens d’une vocation « française » ?
Existe-t-il encore aujourd’hui une vocation de la France ?
Lorsque le grand philosophe et poète russe, Vladimir Soloviev, affirme « qu’une nation n’est pas ce qu’elle pense d’elle-même dans le temps, mais ce que Dieu pense d’elle dans l’éternité », il ne fait que réaffirmer ce que dit la Bible au livre du Deutéronome :
« Quand le Très Haut donna aux nations leur héritage, quand il répartit les fils d’homme, il fixa les limites des peuples suivant le nombre des fils de Dieu » (Dt 32, 8). Et le Catéchisme de l’Église Catholique (CEC) souligne même, dans son § 57, que
« cet ordre à la fois cosmique, social et religieux de la pluralité des nations (cf. Ac 17, 26-27) est destiné à limiter l’orgueil d’une humanité déchue qui, unanime dans sa perversité (cf. Sg 10, 5), voudrait faire par elle-même son unité à la manière de Babel » (cf. Gn 11, 4-6)… Oui, les nations avec leurs vocations spécifiques et diverses sont voulues par Dieu (Gn 10,5).
Dans le grand concert des peuples de l’univers, la France a reçu une vocation spécifique, qui n’est pas une mission de puissance temporelle, n’en déplaise aux nostalgiques ; c’est une vocation qui la dépasse infiniment et qui concerne tous les peuples !
Pour la comprendre, il faut partir du baptême de Clovis, en la cathédrale de Reims, en la nuit de Noël 496 et même aujourd’hui… y revenir.
Car cette nuit-là, c’est, en réalité, une nation entière qui revêt le Christ. Les conséquences de ce choix unanime ont été nationales puisque les responsables Francs ont immédiatement voulu incarner les promesses baptismales de leur adhésion au Christ en modifiant la teneur de la Loi Salique(1) pour en fonder désormais l’esprit sur les préceptes de son Évangile. Autant dire que dès lors la nation, l’État franc reconnaît la primauté du spirituel sur le temporel. Et pour reprendre la belle expression de Soljenytsine récusant l’autonomie du politique, on peut dire que le baptême franc c’est
« l’agenouillement politique de la France devant Dieu ».
De cette incarnation d’une conversion spirituelle dans la vie publique et politique des Francs, va naître le nom de la France (franc veut dire affranchi, libéré) qui est un nom de baptême. Un petit peuple va, en effet, bientôt donner son nom à une population jusque-là très composite où vivaient côte à côte Celtes, Gallo Romains, Goths et autres Barbares du reste de l’Europe, dans une assimilation réussie. Comme l’a écrit magnifiquement le grand écrivain belge Godefroid Kurth (1847-1916),
« une nation catholique était née indestructiblement unifiée dans la même foi et sous le même roi, par un ciment tellement fort que jamais les siècles n’ont réussi à l’entamer ». Du moins jusqu’au génocide vendéen et révolutionnaire.…
Mais pourquoi Fille aînée ?
Notre pays n’est pas la première nation baptisée dans le Christ, l’Arménie a reçu le baptême vers 314 et son Église demeure aujourd’hui une Église chrétienne orthodoxe autocéphale. Néanmoins la France est la première baptisée dans la foi de Nicée (Concile de 325) qui établit le credo catholique.
D’ailleurs très vite les papes vont faire appel à elle pour soutenir temporellement l’Église dont elle va devenir en quelque sorte le bras armé (jusqu’à son premier grand reniement de 1789). Pourtant, malgré ses infidélités nombreuses, elle a gardé ce titre de Fille aînée de l’Église, utilisé par de nombreux papes au long de son histoire nationale, pour services rendus et que le Saint-Père Jean-Paul II lui-même, un 1er juin 1980, est venu réaffirmer dans un appel historique, au Bourget en posant cette question fondamentale :
« France, es-tu fidèle aux promesses de ton baptême ? »
Ainsi, parce qu’elle est la première entrée dans l’Alliance avec la Sagesse éternelle, la France, Fille aînée, est la première des nations entrées dans la Nouvelle Alliance avec le Christ et à ce titre elle a reçu une vocation qui la dépasse : comme l’écrivait, en 1907, le pape saint Pie X à Mgr Luçon, alors archevêque de Reims : « Le baptême de Clovis marqua la naissance d’une grande nation : la tribu de Juda de l’ère nouvelle, qui prospéra toujours (…) tant qu’elle maintint l’alliance du sacerdoce et du Pouvoir public… »
La vocation de la France n’est pas française !
« Nouvelle tribu de Juda »… On le voit, il s’agit d’une vocation universelle qui dépasse le seul peuple gaulois et concerne le peuple de la Nouvelle Alliance tout entier ! C’est pourquoi saint Jean-Paul II, ce 1er juin 1980, a tellement insisté :
« Permettez-moi de vous demander : France, Fille aînée de l’Église et éducatrice des peuples, es-tu fidèle, pour le bien de l’homme, à l’alliance avec la Sagesse éternelle ? »
Fille aînée, cela veut dire sœur aînée, celle à qui il est demandé de donner l’exemple. Parce que ses fondateurs ont choisi de faire alliance par le baptême, avec la Sagesse éternelle, la France est depuis plus de quinze siècles, la grande sœur des nations de l’univers ! C’est à ce titre, que Dieu lui a octroyé d’immenses dons spirituels et mystiques ! Elle est destinée à éduquer ses sœurs, les nations plus jeunes. De là vient d’ailleurs cet attrait pour l’universel et pour les autres cultures du monde que tous s’accordent à reconnaître à la France, qu’elle soit fidèle à sa mission ou dans ses heures de grande infidélité, comme à l’heure actuelle.
On le voit, même s’il y a un État-France historique, la vocation de notre pays n’est pas d’abord française ; elle n’est pas fondée sur un droit du sol ou du sang et n’est pas destinée essentiellement à bâtir une puissance temporelle, comme le sont d’autres peuples ; elle se fonde sur l’Alliance avec la Sagesse éternelle… Dans cette alliance se trouve la véritable « liberté, égalité et fraternité » des enfants de Dieu.
Une vocation mystique dont la mission sera précisée au cours des siècles
On l’a dit, Dieu a pourvu la France au cours de sa longue histoire, de ses dons les plus précieux afin de l’aider dans sa mission de Fille aînée. C’est en ce sens que Jésus s’adressait au jeune séminariste vietnamien, Marcel Van, en novembre 1945 :
« Ô petit apôtre de mon amour, je veux que tu me serves d'intermédiaire, même pour la France... […] Hélas ! Ô France, pays que j’aime particulièrement… Ton devoir envers moi n’est pas un devoir ordinaire. Ô France, je t’aime ; et vous, Français, savez-vous bien quels sont envers vous les sentiments de mon cœur ? […] » (2)
« Pas un devoir ordinaire », en effet, celui de faire connaître et aimer les deux Trésors du Père et de l’Église : le Sacré Cœur de Jésus et le Cœur Immaculé de Marie, par toutes les nations qui forment son peuple ! Retenons simplement les interventions divines les plus significatives qui précisent l’histoire spirituelle de la Fille aînée.
L’épopée de Jeanne d’Arc au XVe siècle, est à ce titre significative : à l’époque, le pays est en grande misère et en danger politique de se voir annexer par l’Angleterre lorsque Dieu sollicite une jeune lorraine, Jeanne, pour
« bouter l’Anglais hors de France », sous l’étendard de Jésus et de Marie. Sainte Jeanne d’Arc mourra sur le bûcher, mais son sacrifice ne sera pas vain car à peine un siècle plus tard, sous son monarque Henri VIII, l’Angleterre se détachera de l’Église catholique et du culte marial -ce dont la France restera constamment préservée- et elle deviendra officiellement anglicane (3).
Au XVIIe siècle Dieu va préciser ce qu’il attend de notre piété nationale envers sa Mère, en la personne de Louis-Marie Grignion de Montfort, l’un des grands Docteurs marials de l’Église. En effet, le père de Montfort sera le premier à appeler les croyants à se consacrer à la Vierge Marie et l'Église lui doit l’œuvre magistrale du Traité de la vraie dévotion à Marie redécouvert au XXe siècle, surtout aujourd’hui grâce à Marthe Robin et qui semble avoir été écrit pour notre époque, celle des
« apôtres des derniers temps » qu’il annonce dans son œuvre. Il est à noter que si la Vendée a eu la force de vivre un véritable martyre pour la foi catholique dans les années de la Terreur révolutionnaire et de ses
« colonnes infernales » qui y ont pratiqué un véritable génocide, elle a tiré sa vigueur chrétienne du formidable travail d’évangélisation réalisé par Montfort, « le saint de la Vendée ».
Oui, le temps de la Révolution française approche ; il commencera un siècle plus tard, en 1789, mais d’ici là la Providence va éclairer fortement la France sur la mission que le Ciel lui confie et la préparer à la veille de son grand reniement officiel. En effet, le roi Louis XIII, contemporain du père de Montfort, va prononcer en 1638, un vœu national(4) qui consacre le royaume à Marie et fait de Notre Dame de l’Assomption la fête officielle du pays.
Par ce vœu, « le royaume de France devient le Royaume de Marie » ! Cette appellation, le pape Pie XI la confirmera en 1922, dans sa lettre apostolique « Galliam, Ecclesiae filiam primogenitam », en affirmant :
«… Nous déclarons et confirmons que la Vierge Marie Mère de Dieu, sous le titre de son Assomption dans le Ciel, a été régulièrement choisie comme principale patronne de toute la France. » Dans ce même document, le Pape déclarera sainte Jeanne d’Arc patronne secondaire de la France.
C’est sous le successeur de Louis XIII, alors que la France monarchique est à l’apogée de son rayonnement temporel et politique avec Louis XIV, que Dieu, constatant avec douleur que dans le monde,
« l’amour n’est pas aimé », va révéler de façon très claire ce qu’il attend de la Fille aînée, à une jeune moniale, Marguerite-Marie, du monastère de la Visitation, à Paray-le-Monial, au cœur du pays, un 27 décembre 1673, et lui confie :
« Voici ce cœur qui a tant aimé les hommes et qui n’en reçoit que des ingratitudes. » En 1689, lors d’une nouvelle visite à Marguerite-Marie, Jésus se fait pressant et lui confie une mission auprès de Louis XIV :
« Fais savoir au fils aîné de mon Sacré Cœur, que, comme sa naissance temporelle a été obtenue par la dévotion aux mérites de ma sainte Enfance, de même il obtiendra sa naissance de grâce et de gloire éternelle par la consécration qu’il fera de lui-même à mon Cœur adorable, qui veut triompher du sien, et par son entremise de celui des grands de la Terre. Il veut régner dans son palais, être peint dans ses étendards et gravé dans ses armes, pour les rendre victorieuses de tous ses ennemis (…) » (4)
Cette demande de réparation publique par la fête solennelle du Sacré-Cœur restera lettre morte et ne sera exaucée en partie qu’à la fin du XIXe siècle, d’abord avec l’érection de la basilique du Sacré Cœur de Montmartre (avec les deniers des fidèles à la suite du vœu national de réparation de 1871) puis par le pape Léon XIII, qui instituera la fête du Sacré-Cœur officiellement pour toute l’Église en 1899, après avoir consacré le monde au Sacré-Cœur de Jésus.
Mais la France, dont la monarchie n’a pas obtempéré aux demandes du Sacré Cœur, est maintenant à la porte de son grand reniement et la Fille aînée va devenir la Fille prodigue.
En a-t-elle toujours les moyens aujourd’hui ?
De fait, la Révolution française est une révolution métaphysique qui met fin à la primauté du spirituel sur le politique dès le 23 septembre 1789, déclarant, lors du Serment du Jeu de Paume, la volonté générale du peuple au-dessus de la volonté divine comme source du pouvoir : fin de la primauté du spirituel sur le temporel et de la simple distinction monarchique entre l’Église et l’État.
La séparation entre pouvoir spirituel et pouvoir politique ira jusqu’au divorce actuel entre les deux, avec comme conséquences toutes les lois sociétales et bioéthiques qui bafouent aujourd’hui la morale universelle la plus élémentaire.
La France peut-elle alors se relever d’une telle décadence ? La réponse est OUI, absolument !
Comment ne pas évoquer ici la prophétie de l’évêque saint Remi, lors du baptême de Clovis :
« Le royaume de France est prédestiné par Dieu à défendre l'Église du Christ, notre Seigneur. Ce royaume sera grand entre tous les royaumes de la Terre. Tant qu'il sera fidèle à sa vocation il sera victorieux ; s'il s'y montre infidèle, il se verra durement châtié. Il durera malgré tout jusqu'à la fin des temps. »
Une autre prophétie de Jésus, le 26 mai 1873, rapportée par sainte Mariam Baouardy, est très éclairante sur la façon dont Dieu conduit sa fille aujourd’hui :
« J’ai vu la France - rapporte Mariam - comme un champ arrosé par la pluie, éclairé et échauffé par le soleil. Mais la terre était couverte de mauvaise herbe, parmi lesquelles, pourtant, il y en avait quelques-unes de bonnes. J’ai dit à Jésus « Seigneur, pourquoi faites-vous ces mauvaises herbes ? » « Je les laisse, m’a répondu le divin Maître, parce que les bonnes sont encore trop faibles. Elles ont leurs racines liées avec les mauvaises. Si J’arrache les mauvaises, les bonnes seront endommagées et elles se flétriront. Quand les bonnes seront plus fortes, J’arracherai tout ce qu’il y a de mauvais. (…) Plus tard, j’établirai la paix bâtie sur le rocher ferme et rien ne pourra l’ébranler. La France est le centre de mon Cœur » (Voir note 2).
Si la France officielle a renié, tel n’est pas le cas de tout son peuple et l’on va voir durant le XIXe siècle se lever un grand mouvement de prêtres missionnaires partir de France et porter l’Évangile sur les cinq continents.
La Vierge elle-même a multiplié ses visites à la France après la Révolution. Entre 1830, à la Rue du Bac où elle fait don de la Médaille Miraculeuse à Catherine Labouré et 1876, où elle vient à Pellevoisin donner le scapulaire à Estelle Faguette, Marie va apparaître à La Salette en 1846, à Lourdes en 1858, à Pontmain en 1871, où à la suite de son message à quatre jeunes enfants
« Priez mes enfants, Dieu vous exaucera en peu de temps », le pays a été préservé de la progression de l’invasion prussienne !
Plus proche encore, en 1914, lors de la bataille de la Marne, Marie repousse elle-même l’armée allemande qui approche de Paris(5), et en 1947, elle vient encore à l’Île-Bouchard demander à trois enfants de prier pour que soit évité le coup d’État communiste qui se prépare : prière exaucée dans les jours qui suivent !
Mais au début de ce XXIe siècle la « Fille prodigue » s’enfonce encore plus aveuglément. Jésus avait prévenu sainte Mariam « la petite Arabe »:
« La cause des terribles désastres qui vont fondre sur la France, la voici : on commettra des péchés et des outrages envers le Saint Sacrement et l’Incarnation sera considérée comme une fable » (31 août 1876) (voir note 2).
Le relèvement de la France passe d’abord par un retour national au Christ !
La Fille aînée ne pourra retrouver sa vocation qu’en reconnaissant la primauté de la loi de Dieu sur celles de ses politiciens ! (5)
Il s’agit d’une véritable conversion nationale qui passe par une reprise officielle de la dévotion à Marie :
« Mon Fils désire (…) qu'on m'invoque sous le vocable de Reine de France. Si l'on répond à ce nouveau désir de son divin Cœur, la France redeviendra tout particulièrement mienne. Je la prendrai à jamais sous ma maternelle protection et mon Fils se plaira à répandre sur elle d'abondantes bénédictions. » (Marie à Marcelle Lanchon, 8 septembre 1914, à Versailles) (Voir note 2)
Parmi les très nombreuses prophéties reçues entre les XIXe et XXe siècles par la France, citons encore celle d’Édith Royer : « Si le Sacré-Cœur appelle d'abord la France à la pénitence, c'est, comme il a appelé Madeleine, parce que la France a beaucoup à expier, et doit en retour beaucoup aimer ! Les desseins du Sacré-Cœur, dans cet appel, sont pour le monde entier. » (Lettre à Mgr Lecot, 26 août 1887) (Voir note 2).
Il est clair que la France chrétienne ne retrouvera sa vocation et sa mission de Fille aînée de l’Église que lorsqu’elle sera consacrée officiellement au Cœur de Jésus et au Cœur de Marie ! Relisons ainsi la grande prophétie du pape saint Pie X, le 29 novembre 1911, dont voici un court extrait :
« Le peuple qui a fait alliance avec Dieu aux fonts baptismaux de Reims se convertira et retournera à sa première vocation. Ses fautes ne resteront pas impunies, mais elle ne périra jamais, la fille de tant de mérites, de tant de soupirs et de tant de larmes. »
Or, nous voyons les prémices de ce retournement avec, à l’été 2020, le grand pèlerinage du « M » de Marie vers les principaux sanctuaires marials du pays ; nous le voyons aussi avec l’éclosion, depuis Vatican II, de plus de 300 communautés nouvelles du Renouveau catholique qui, pour n’être encore qu’un petit reste, n’en est pas moins le signe d’une grande espérance pour l’avenir ; une espérance qui passe par ces apôtres des derniers temps évoqués par saint Louis-Marie à la veille des atrocités vendéennes.
Nous sommes appelés à être ces apôtres des derniers temps ; nous sommes aujourd’hui ceux qui, par leur fidélité et leur consécration au Christ et à sa Mère, vont permettre à la Fille prodigue devenue pour un temps « l’archipel français », de devenir une « Nouvelle Galilée des nations », rayonnante de sa foi de grande sœur aînée des peuples.
Comme le rapporte la religieuse Claire Ferchaud dans son compte-rendu d’une nuit d’adoration à Montmartre, le 16 mars 1917 où Jésus lui est longuement apparu :
« Jésus semble alors se réjouir et dit : "Oh ! La France ! Comme elle sera belle un jour ! Non Satan aura beau faire, jamais la France ne lui appartiendra. » (cf note 2)
-------------------
- La loi Salique est la constitution politique sur laquelle reposait le royaume Franc ; elle est restée en vigueur avec des retouches, jusqu’à la Révolution de 1789
- Cf. le site https://www.prophetiespournotretemps.com/les-differentes-propheties-pour-notre-temps/
- Précisons que l’Église anglicane est hétéroclite, allant des Anglo-catholiques (cf N.D. de Walsingham) aux Évangéliques et aux Calvinistes.
- Cf. https://www.notrehistoireavecmarie.com/fr/esc/a-paray-le-monial-le-sacre-coeur-vient-ranimer-la-flamme-de-notre-amour-refroidi/
- À propos de la reconnaissance du Christ comme Roi de France, voir l’article du site prophetiespournotretemps.com sur Sœur Olive et l’histoire de la Basilique du Christ-Roi à Paris