Les Jeux olympiques de Paris 2024 promet un spectacle mondial de détermination, de talent et de foi. Parmi les milliers d’athlètes venus du monde entier, certains puisent leur force dans leur foi chrétienne, affrontant les épreuves sportives et personnelles avec une résilience hors du commun. Découvrez ces 5 sportifs pour qui la foi en Dieu est bien plus qu’un simple refuge, mais la clé dans leur quête de l’excellence.
Kayla Alexander, pilier de l’équipe de basket-ball canadienne, n’a jamais caché l’importance de sa foi dans son parcours. À 33 ans, après une carrière riche en accomplissements, Kayla attribue ses succès et ses épreuves à l’action divine. Blessée au genou en 2020, elle aurait pu abandonner, mais sa conviction que "Dieu fait tout pour le bien et pour sa gloire" l’a maintenue sur le chemin de la guérison. Aujourd’hui, elle pratique son sport avec une détermination renouvelée, portée par sa foi indéfectible.
Originaire du Soudan du Sud, Carlik Jones représente l’espoir d’un pays jeune, déchiré par des conflits mais déterminé à se faire une place sur la scène mondiale. À 26 ans, ce basketteur n’a cessé de clamer sa confiance en Dieu, qui l’a accompagné depuis ses premières années marquées par une maladie cérébrale. Pour Carlik, chaque victoire est une opportunité de témoigner de la grandeur de Dieu dans sa vie.
Star montante du football nigérian, Rasheedat Ajibade, 24 ans, vit ses premiers Jeux olympiques après avoir marqué le but décisif qui a qualifié son équipe. Pour elle, ce succès est avant tout une œuvre divine, comme elle l’a montré en arborant un maillot "Jésus révélé, Jésus glorifié". Réservée, elle exprime sa foi avec force, et utilise son succès pour sensibiliser à la santé mentale, un combat qu’elle mène depuis son adolescence. Rasheedat est un exemple d’une athlète qui porte la lumière de sa foi sur le terrain et en dehors.
Jerry Tuwai, capitaine de l’équipe fidjienne de rugby à sept, est bien plus qu’un simple joueur. Vainqueur à Rio en 2016 et à Tokyo, il a mené ses coéquipiers à la victoire en entonnant des hymnes de louange, témoignant ainsi de l’importance de la foi dans son équipe. Originaire d’un quartier pauvre de Suva, Tuwai a surmonté des débuts modestes grâce à une discipline stricte et une confiance totale en Dieu. Revenu dans l’équipe après avoir été écarté, il voit sa présence à Paris comme un signe de la volonté divine, rappelant que "Dieu a un projet pour chacun de nous".
Geronay Whitebooi incarne la résilience. À seulement 27 ans, elle a déjà surmonté des tragédies personnelles, dont la perte de sa sœur et de son père. Chaque victoire, comme sa récente médaille d’argent au Marrakech Africa Open, est dédiée à sa foi et à sa famille, malgré le poids des sacrifices. "Nos souffrances ont un but", écrit-elle, convaincue que chaque épreuve renforce son endurance. Pour Geronay, monter sur les tatamis de Paris n’est pas seulement une quête de médailles, mais une déclaration de foi vivante, un acte de reconnaissance envers Celui qui la guide chaque jour.