Commandez le dernier numéro du magazine chrétien 1000 raisons de croire et découvrez toute l'histoire de la sainte guerrière, Jeanne d'Arc, à travers des témoignages et des histoires providentielles et des dossiers inédits. En exclusivité, voici 5 infos insolites et incontournables sur Jeanne d'Arc.
1. Des voix venues du Ciel
À Domrémy, dès l’âge de 13 ans, Jeanne entend saint Michel lui dire qu’« il y a grande pitié au royaume de France », ainsi que sainte Catherine et sainte Marguerite. « Le plus grand écrivain de langue française, c’est Jeanne d’Arc », constatait Cocteau tandis que Jules Laforgue affirmait : « Elle parle un français de Christ. » Si cette jeune fille de la campagne, qui n’est jamais allée à l’école, peut parler ainsi, c’est parce qu’elle est allée durant quatre ans à l’école des anges qu’elle fréquente quotidiennement, un fait sans précédent dans l’histoire de l’Église. Ses voix ne l’ont jamais abandonnée.
2. Un chef de guerre unique
À 17 ans, Jeanne décide de partir avec son oncle rencontrer le sire de Baudricourt, représentant du roi à Vaucouleurs. Impressionné par les connaissances de la jeune fille, Baudricourt lui donne trois écuyers pour rejoindre Chinon. En mars 1429, Jeanne traverse les lignes ennemies en plein hiver. Le dauphin Charles VII, convaincu par la jeune fille, lui donne tout ce qu’il a : 12 000 hommes, 12 chevaux et 12 000 écus. Elle devient alors la chef d’un corps d’armée, sans qu’aucun titre ne lui soit donné. Le 7 mai 1429, derrière elle, les soldats prennent les bastides une à une, puis entrent dans Orléans. Jeanne est victorieuse.
3. Capturée puis vendue aux Anglais
C’est en protégeant la ville de Compiègne menacée par les Anglais qu’elle est faite prisonnière par deux capitaines du seigneur Jean de Luxembourg. Immédiatement, l’Université de Paris, rancunière car le traité de Troyes a été complètement balayé par l’épopée de Jeanne, écrit au roi d’Angleterre pour lui demander de racheter la prisonnière. Le 21 novembre 1430, Jeanne est alors vendue aux Anglais « au prix d’un roi ». Naît alors l’idée d’un procès inédit où les vainqueurs jugent leur adversaire vaincu sans l’intervention d’un tiers.
4. Procès, hérésie et mort sur le bûcher
Victime d’une tentative de viol en prison, Jeanne décide de remettre ses habits d’homme. Jugée hérétique sur ce motif (Dt 22,5), elle est brûlée vive le 30 mai 1431, à Rouen. Sur le bûcher, Jeanne s’écrie sept fois : « Jésus ! », après avoir dit : « Non, mes voix ne m’avaient pas menti. Oui, mes voix étaient de Dieu. » Son cœur, lui, refuse de brûler, au grand désarroi du bourreau : « On me dit que j’ai brûlé une sainte. Le cœur ne veut pas brûler. » Selon la volonté du cardinal de Winchester, grand maître du procès et frère du roi d’Angleterre, le cœur est alors jeté à la Seine avec les cendres de Jeanne, afin qu’aucun pèlerinage ne puisse être organisé.
5. Sainte et héroïne nationale
Jeanne est le modèle de la femme qui a donné sa vie pour sa patrie. Seule sainte guerrière de toute l’histoire, elle est aussi la seule à avoir été sollicitée par Dieu pour libérer un pays d’une invasion prolongée et indue. On a souvent relevé que Dieu n’a jamais fait rien de semblable pour aucun autre pays. L’Église reconnaît par ailleurs une double mission chez la Pucelle d’Orléans : en plus de « bouter les Anglais hors de toute France », elle avait la charge de défendre la foi chrétienne, car le schisme était inscrit en filigrane dans la démarche des insulaires.
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