et grimpe lui aussi sur le gros figuier. Quand les deux pêcheurs en redescendent, Simon le Zélote, Joseph et Judas sont eux aussi sortis de l’atelier. Je ne vois pas les autres. Marie apporte du pain frais
prière d’une sainte qui, sûrement, me supplie pour mon bien ? Alors que je suis ton cousin du côté de Joseph, ne dois-je pas te connaître pour ce que tu es, alors que Jean-Baptiste t’a reconnu, lui qui ne t’avait
berger inconnu devenu roi puissant et sage par la volonté du Seigneur. – Ton nom ? – Jésus, fils de Joseph de Nazareth, fils de Jacob, de la race de David, et de Marie, fille de Joachim, de la race de David
du Térébinthe et, là, nous nous séparerons. Elie retournera à ses pâturages avec Lévi, pendant que Joseph m’accompagnera jusqu’au gué de Jéricho. Puis… nous nous retrouverons encore. Toi, Isaac, continue
fortune, et même quelques hérodiens… – Et qu’est-ce que ces gens sont venus faire Béthanie ? Est-ce que Joseph et Nicodème étaient là ? – Non : ils étaient passés les jours d’avant, et Manahen aussi. Mais ceux
aucune honte de mentir : « C’est sûrement l’un de ces faux jetons de pharisiens… Moi, je pense à Joseph ou Nicodème, ou bien à Kouza et Manahen… Tous sont avides de pouvoir et d’argent… Je sais qu’Hérode…
toute spéciale. Adieu, Marie ! Viens me donner un baiser… Adieu, Emmanuel ! Approche, toi aussi, Joseph… Adieu, Jésaï, agnelet de l’Agneau… Soyez bons… Aimez-moi… – Tu pleures, Seigneur ? demande la fillette
vers ces hôtes inattendus que sont son cousin Simon, Alphée, fils de Sarah, le berger Isaac et ce Joseph que Jésus avait recueilli à Emmaüs[1] après le verdict du Sanhédrin. « Nous étions allés à Nazareth
je dois dire à mon Père : que son peuple ne croit plus aux prophètes ? – Et où est donc ton père ? Joseph le menuisier repose depuis des années dans son tombeau. Tu n’as plus de père. – Vous ne connaissez
souvenir… « Moi, j’ai vu Nicodème et Joseph, déclare Thomas. – Tu les as vus ? Tu as parlé avec eux ? demande Judas avec un intérêt exagéré. – Oui. Qu’y a-t-il d’étrange ? Joseph est un bon client de mon père [...] tant que l’amour nous l’a caché. Mais ceux qui l’ont aimé sans l’idolâtrer : ton père, ton frère Joseph, et Simon au début, ont vu juste… nous aurions dû ouvrir les yeux en les écoutant. Au contraire, [...] tout, il sourit à son cousin Jude et dit à son autre cousin : « Ta mère te prie d’être doux avec Joseph. Tout à l’heure, il a demandé aux femmes de mes nouvelles et des tiennes. Je regrette de ne l’avoir