oui, je le répète, Souveraine, Mère de Dieu et Vierge : nous attachons nos âmes à l'espérance que tu es pour nous, comme à une ancre absolument ferme et infrangible [2] , nous te consacrons* notre esprit
limina (15 octobre 1988), n. 6 : Insegnamenti, XI, 3 (1988), p. 1228 [5] Vatican II , Gaudium et Spes 47 e_list%5Bglossaire%5D=295&tx_ifglossaire_list%5Baction%5D=details&tx_ifglossaire_list%5Bcontroller%5D
foi vis à vis du Père. Il s'agit d'entrer dans la confiance, sans tout contrôler : « Notre Père, qui es aux cieux que ton Nom soit sanctifié, que ton règne vienne, que ta volonté soit faite sur la terre
fils, c’est que Dieu a envoyé dans nos cœurs l’Esprit de son Fils qui crie : Abba , Père ! Aussi n’es-tu plus esclave mais fils ; fils, et donc héritier de par Dieu. » (Ga 4,4-7) Pour entrer en communion
(Gal 4,4). [1] BONAVENTURA. «Thesaurus» (Opera Omnia V), cap. VIII. S. M. Cecchin Maria Signora Santa e Immacolata nel pensiero francescano, PAMI, Città del Vaticano 2001, p. 7-9 St François († 1226), Ste
saints pour chaque jour), la Vierge apparut à André, un Fol-en- Christ d’origine slave qui vivait au 10e siècle, et à son disciple Epiphane. L’empire byzantin était alors menacé. L' apparition de Marie à André
que des choses très légères causent à l'une autant de peine qu'une autre en éprouverait d'une grande é preuve . [...] quand aux autres, celles qui désirent des épreuves, rien ne les abat, il leur est très
représentations des noces de Cana par le Centro Aletti. Bibliographie : D. Estivill, "Maria", Iconografia e arte cristiana, diretto da Liana Castelfranchi, Maria Antonietta Crippa. Edizioni San Paolo, Milano
l' incarnation du Fils de Dieu en son sein virginal... Mais nous ne pouvons qu'imaginer ce que fut l'é preuve psychologique et surnaturelle tant pour Joseph que pour Marie, face à de tels événements dépassant
façon que les bons, au moins, n’aient pas l’occasion de vous mépriser, répond Jésus. – Toi, tu es bon. Mais tu es bien le seul ! – Non : ceux-ci sont comme moi et puis… il y a le Dieu Père qui aime ceux qui [...] sens l’odeur de péché en nous, pauvres hommes qui ne sommes pas du Temple. Je sais bien que toi, qui es un juif complet, mélange de pharisien, de sadducéen et d’hérodien, à moitié scribe et un brin essénien [...] disciples, pourquoi avez-vous permis cela ? Tu me surprends, Simon-Pierre ! – Et toi, Philippe, tu es bien connu ici ! Toi aussi, Nathanaël ! J’en suis vraiment abasourdi ! Toi, un véritable israélite