faim, la soif et le jeûne. On m'a présenté le fiel et le vinaigre. Tu as médit, tu as calomnié, tu t'es moquée, tu as blasphémé, tu as menti, et menti jusqu'au parjure. Ce n'est pas tout. Tu as fait autre
après le récit du baptême de Jésus au Jourdain (Lc 3, 21-22). A la voix céleste qui le dé signe « Tu es mon fils ; moi aujourd'hui, je t'ai engendré » (Lc, 3, 22) fait écho la généalogie qui s'achève en
p.122 [4] John Mc HUGH, La mère de Jésus dans le Nouveau Testament , Cerf, Paris, 1977, p.132 [5] R.E. BROWN, The Gospel according to John, tome 29A, New York, 1970, p. 925 [6] H. CAZELLES, Fille de Sion
" 29 Mais il advint qu’il retira sa main et ce fut son frère qui sortit. Alors elle dit: "Comme tu t’es ouvert une brèche!" Et on l’appela Pérèç. 30 Ensuite sortit son frère, qui avait le fil écarlate à
psaume 110. Ce qui est particulier à la lettre aux Hébreux, c'est d'appliquer à Jésus ce verset : « Tu es prêtre à jamais selon l'ordre de Melchisédech. » (Ps 110, 4 = He 7, 17). Melchisedek est un personnage
à vivre intégralement la Parole de Dieu, en particulier aussi lorsqu’il se réfère à Marie, est amen é ainsi à la rencontrer comme Mère et à l'introduire "dans tout l’espace de sa propre vie intérieure"
des enfants dont la marche n’est pas sûre, ou qui sont encore au sein. « Bénis nos enfants, toi qui es béni, pour qu’ils soient des amis de la Lumière ! » demandent les mères. Jésus leur impose les mains
« Cette boule représente le monde entier, la France et chaque personne en particulier » - Dans le 2e tableau, il sort de ses mains ouvertes, dont les doigts portent des anneaux de pierreries, des rayons
sienne son interprétation libérante de la Loi ; Jésus, à son tour, loue sa sagesse et l'encourage : "Tu n'es pas loin du Royaume de Dieu !" ; sous-entendu : "il te reste seulement à reconnaître son Envoyé."
Cuauhtlatoazin, qui se traduit par “Quelqu’un qui parle comme un aigle” ou “un aigle qui parle”. L e Nican Mopohua décrit Juan Diego comme un “macehualli” ou “pauvre Indien”, quelqu’un qui n’appartient