visage de Dieu. Tu es donc “ l’Inconnu ” sous ton apparence. Mais tu es le Connu selon ta nature, ta réalité, Jésus, Fils du Père, Verbe incarné et Dieu comme le Père. Voilà qui tu es, et je te salue et [...] conduire. Effrayé et découragé, le pauvre aveugle s’arrête… « Le Rabbi ! Le Rabbi ! Haï Haï Hi li li è lè lè ! » (je m’efforce de rendre, sous forme de… parole, le youyou aigu des femmes qui le modulent [...] peine si Elisée me supporte, tout juste s’il ne me hait pas ! Hélas ! gémit une femme déjà fanée. – Tu es vieille désormais, Sella ! Résigne-toi ! » lui disent, avec une pitié mêlée à un léger mépris et à
pas. » Jésus la console d’une caresse et il l’attire à lui. « Réponds : d’où es-tu ? – De la plaine d’Esdrelon. – Et tu es venue jusqu’ici ? – Oui, Seigneur. – Il y a longtemps que ta mère est morte ? [...] ensuite il change subitement de ton pour s’adresser à quelqu’un qu’il voit et il dit avec colère : « Tu es encore là ? Va-t-en. Il n’y a rien pour toi. Va-t-en. Tu as compris ? Ici, il n’y a pas de place pour [...] Ismaël. – Le pharisien Ismaël !…» (Impossible de traduire la manière dont Jésus répète ce nom). « Tu es partie volontairement ou bien il t’a renvoyée ? – Il m’a renvoyée, Seigneur. Il a dit : “ Sur le chemin
récente heure de joie. Puis il soupire et achève : « Mais cela a été vite fini… – En es-tu sûr ? Dis-moi, maintenant que tu es à côté de moi et loin de ceux qui t’ont troublé, qu’éprouves-tu ? – La paix encore [...] : « Parlez, parlez. Vous avez d’autres malades ?… » Et il se lève pour aller vers eux. « Maître, tu es fatigué toi aussi, plus que nous. Repose-toi un peu et qu’ils attendent…, disent plusieurs apôtres [...] bon cœur, l’affection des douze se réveille et reprend le dessus : « Mais non, Seigneur ! Reste où tu es pour leur parler. Nous irons retourner nos vêtements pour les faire sécher de l’autre côté. Ainsi,
Verbe est écrit, lui par qui nous avons la doctrine de la vie : tu es la Table qui nous donnes cette doctrine » [6] « Marie, tu t'es faite Livre sur lequel aujourd'hui est écrite notre règle. En toi a [...] Monna...] dans U.MEATTINI (ed), S. CATERINA DA SIENA, Epistolario, Ediz. Paoline, Torino 1993. (non è ancora un edizione critica), p. 1121 [3] Oraison O XII [28.30-34] G. CAVALLINI, op. cit., p.138-140 [...] Monna...] dans U.MEATTINI (ed), S. CATERINA DA SIENA, Epistolario, Ediz. Paoline, Torino 1993. (non è ancora un edizione critica, p. 1121 [3] Prayers O XII [28.30-34] G. CAVALLINI, op. cit., p.138-140,
et pensif. « Avec toi, nous n’aurions jamais à intervenir. Le glaive ne se lèvera jamais sur toi. Tu es bon. Mais les autres !… » Jésus se tient dans la pénombre de l’entrée, Jean est tourné vers la ville [...] magiques prises dans les antres des Pythons ? – Rien de tout cela. Je n’ai que ma puissance. – Alors, tu es un vrai saint. Nous, nous avons les aruspices et les vestales… et certains d’entre eux font des prodiges… [...] respecter César et sa patrie, et tant d’autres choses ? » Jésus regarde fixement le soldat. « En vérité, tu es déjà bien avancé sur le chemin de la justice. Continue, soldat, et tu parviendras à connaître ce que
dis-le simplement : “ de l’amour ”, car c’est cela que j’ai eu, Jacques, et que j’ai encore. Et toi, qui es mon cousin, tu peux comprendre que je ne puis ressentir autre chose que de l’amour. Je t’ai montré [...] veut du mal. Il s’arrête parce qu’il voit que nous nous en sommes aperçus. Ah ! Ces samaritains ! – En es-tu certain, Pierre ? – Absolument ! – Alors, restez ici. Moi, je vais à sa rencontre. – Non, Seigneur [...] il la regarde, regarde l’homme : « Tu crois que je le peux ? Pourquoi le crois-tu ? – Parce que tu es le Christ. – Mais tu n’as rien vu qui le prouve. – J’ai entendu ta parole. Elle me suffit. 147.3 –
car cela ne s’était jamais produit auparavant. – Parce que, avant, tu étais un enfant. Maintenant, tu es un homme et tu penses davantage, lui dit Pierre. – J’ai encore deux petits fromages et un peu d’olives [...] mauvaise laine !… Il sera plus au frais. – En attendant, toi, tu restes sans vêtements frais et tu es trempé comme une éponge dans ces habits de laine, lui dit Pierre. – Qu’importe ! Mon grand-père est [...] chanvre… » L’ancêtre lève une main tremblante et essaie de la poser sur la tête brune, en disant : « Tu es bon… meilleur que le miel… C’est… c’est ta bonté qui me fait du bien… Mais ton miel… il ne sert plus
serait impossible que son âme soit à Jésus. Tu es meilleure que les autres… Mais autour de toi… trop vive est la fange du monde. – C’est vrai. Eh bien ? – Tu es mère… Mon Fils a des sentiments de père pour [...] d’Israël… – En vérité, tu n’as pas encore compris le moindre mot de la Bonne Nouvelle ! Comme disciple, tu es très imparfaite. Tu ne travailles pas pour ton Maître, et tu me peines beaucoup. » Marie, femme d’Alphée [...] vont toujours assez pour que l’on puisse affirmer qu’elles sont impures. – Dis-tu cela parce que tu en es sûr ? Ne seraient-ce pas tes préjugés d’Hébreu qui te font parler ainsi ? Examine-toi, vraiment… –
Maître, je dis que ce serait encore de la profanation. Pourquoi mettre des joies humaines, là où tu es, toi ? Quand quelqu’un te possède – et ils t’ont possédé, eux, les seuls riches en Israël pour t’avoir [...] doit entrer dans le cœur qui te possède. Si je pouvais être comme eux ! Dit Simon. – Cependant, tu t’es empressé, après avoir vu le Maître et après ta guérison, de reprendre possession de tes biens, répond [...] maintenant c’est le contraire !… Toi aussi, Judas, tu deviendras comme lui. Il y a peu de temps que tu es avec le Maître, nous, il y a plus longtemps et nous sommes déjà meilleurs, dit Jean, toujours doux
répond Marie. Lazare et Joseph d’Arimathie entrent et la saluent avec une profonde vénération : « Bénie es-tu entre toutes les mères ! Les serviteurs de ton Fils, notre Seigneur, te saluent. » Et ils se prosternent [...] laisser seuls les apôtres, dont tu veux être la Mère et le guide dans leurs premières épreuves, toi qui es le siège de la Sagesse divine, l’Epouse de l’Esprit qui révèle les vérités éternelles, toi la Fille [...] reçu beaucoup de Jésus, c’est vrai. Mais aussi, avant de recevoir, il a toujours tout donné à Jésus. Es-tu heureuse, Mère ? – Oui, Jean, tellement heureuse ! Je vivrai, tant que Dieu le voudra, pour assister