MARCUZZI, Santuari mariani d’Italia, edizioni Paoline, Roma 1982, p.56 [Lien perdu] (3) Il miracolo e il culto di Maria Bambina a Milano, Suore di Carità, S. Sofia 13, Milano, Italia Synthèse F. Breynaert
– Mais depuis tant d’années qu’elle est avec moi, elle aurait dû changer ! – Ah ! Mon frère ! Tu n’es pas très doux, toi non plus, sais-tu ? Sur une personne timide tu produis l’effet d’une grosse bûche
montrent du doigt et certains lui disent : « Homme, aujourd’hui tu t’es trompé de route. Tu as dépassé tous les chemins du mont Moriah, tu es déjà à Bézéta. – Aujourd’hui, je ne demande pas d’argent, répond [...] confions ! » Et en s’adressant au jeune homme : « Va ! N’aie pas peur. Avec Joseph d’Arimathie, tu es en sécurité comme avec ton père, et davantage. » Et ils ouvrent leurs rangs pour que l’ancien aveugle [...] par un miracle qui fait resplendir sa puissance ? – Nous ne sommes pas ici pour t’écouter, toi. Tu n’es pas accusé. C’est l’homme que nous voulons interroger. 510.10 A toi de répondre. Comment as-tu obtenu
Seigneur, où veux-tu que nous allions ? Vers qui ? Tu es notre vie et notre amour. Toi seul as les paroles de vie éternelle. Nous savons que tu es le Christ, le Fils de Dieu. Si tu veux, chasse-nous. Mais [...] serons “ oints ” pour être victimes sur l’autel et rois au Ciel. – Eh bien ? En serais-tu jaloux ? Tu en es, toi ? Nous voulons en être nous aussi. Il est le Maître pour tous. – C’est bien. Je vous le disais [...] caresse des enfants. Des disciples se groupent avec des curieux et ils demandent : « Maître, quand es-tu arrivé ? – Il y a quelques instants. » Le visage de Jésus a encore la majesté solennelle, un peu
Marie dans le pluralisme juif Il est temps de faire une synthèse. Nous l'avons dit, E. Urbach explique que la diversité des idées juives sur la rédemption "ne se limite pas à des nuances de détail mais [...] seule est Vierge et mère d'une manière charnelle et spirituelle tout à fait sublime. Bibliographie : E. URBACH, Les sages d'Israël, Cerf, Paris 1996 (traduit de l'hébreu par Marie-José Jolivet. Edition originale
sans cesse tenir compte du Dieu du ciel ; oui, et même lui accorder la première place. "Notre Père qui es aux cieux": puisqu'il nous est permis de dire cette prière, reprenons-la sans nous lasser! Si nous [...] pour s'armer contre les forces du mal et vivre en enfants de lumière. O Christ , Fils de Dieu , tu t'es dépouillé, prenant la condition de serviteur, et tu devins semblable aux hommes jusqu'à la mort de
a été pire qu’un long chemin… – Ils t’ont tourmenté ?… – Oui… et d’abord au Temple… – Mais pourquoi es-tu allé chez ce serpent ? demande Marie. – Ne pas m’y rendre n’aurait servi qu’à justifier sa haine [...] de la Samarie du nord, nous franchirons le fleuve pour revenir de ce côté. – Va vite à Nazareth. Tu es fatigué, dit Lazare. – Auparavant, je dois aller sur les rives de la mer… Puis… je me rendrai en Galilée
taire… – C’est vrai, mais… je ne puis me taire quand je vois que tu préfères la Galilée à ma patrie. Tu es injuste, voilà ! Même là-bas tu avais eu droit à des honneurs… – Judas ! Judas… oh ! Judas ! Tu me [...] manque de respect, mon beau monsieur ! C’est comme ça qu’on vous éduque, au Temple ? Ou peut-être n’es-tu pas éducable ? Parce que, si ce sont eux… – Cela suffit, Pierre. J’ai dit, moi, ce qu’il y avait
Tu aimes mieux les étrangers que nous. Si tu nous évangélisais, nous finirions par t’aimer ! Mais tu es partout sauf en Judée, dit un Judéen, touché par les paroles de Jésus. – J’y descendrai aussi et j’y [...] trouve dans le cœur de beaucoup. Elle ne changera même pas quand le Sang descendra sur la pierre. Tu es chef de synagogue, n’est-ce pas ? – Oui, comment le sais-tu ? – Je le sais. Eh bien, dans ce cas tu
toi et… Voilà, Maître, viens. La soirée est humide et tes cheveux sont trempés de rosée[120]… – Et tu es plus empressé que l’épouse du Cantique, père. Cela ne t’ennuie pas de te déranger pour accueillir le [...] Je me disais : “ S’il venait, cela lui plairait sûrement. ” Mais ils sont arrivés à maturité et tu n’es pas venu… Et je voyais les fruits qui se coloraient sur les arbres et j’en mangeais à regret, puisque