nom indiqué par l’ange avant sa conception » (Lc 2, 21). La fête d’aujourd’hui, par conséquent, est non seulement une fête mariale extrêmement significative, mais elle conserve également un puissant contenu
retenu les saints Pères : en effet ils n'ont pas craint d'appeler la Vierge Theotokos (mère de Dieu), non pas en ce sens que la nature du Verbe et sa divinité ait eu de la Vierge le début de son origine, mais
Piissima Dulcis Virgo Maria Mater amata intemerata Ora ora pro nobis. Tota pulchra es O Maria Et macula non est in te Mater amata intemerata Ora ora pro nobis. Sicut lilium inter spinas Sic Maria inter filias
retrouvée Pour Newman, il n'y a de véritable référence à l'Écriture que dans la totalité de la révélation, non dans les citations isolées. Tout ce qui est dit du salut par la foi dans la lettre au Galates ou la [...] divine nature du Verbe, inséparables de lui, qui ont expié pour les péchés du monde. Je serai là, non pas un contact physique, ni par une possession partielle, ni par des rencontres de passage où une intimité
célébraient cette fête longtemps avant leur séparation de l'Église. Je me souviens encore un peu- quoique non bien distinctement- de ce qui y donna lieu. Je vis notamment un saint, saint Sabas, à ce que je crois [...] où il dit que cet avertissement fut donné dans des circonstances comme celles qui ont été décrites, non pas à saint Anselme, mais antérieurement : à l'abbé bénédictin Elfin ou Elpin, dans l'année 1070. J
9-11) La comparaison entre l’Assomption et l’Ascension d’Élie Saint Jean Damascène dit de Marie : « Non, tu n'es pas seulement comme Élie, montée vers le ciel (2 R 2,11), tu n'as pas été, comme Paul , t
effet, le chaste baiser d'Anne et Joachim représente ainsi « Le signe de la conception de Marie, et non pas la cause miraculeuse de sa conception. Le pape Innocent XI, en l'an 1677 condamna l'idée d'une
texte original se traduit d'une manière plus positive : « Je vous promets de vous rendre heureuse, non pas dans ce monde mais dans l'autre. ». Autrement dit, « je vous promets de vous rendre heureuse..
direct avec Bernadette et qui ne peut l'avoir inventée : « Je vous promets de vous rendre heureuse, non pas dans ce monde mais dans l'autre. » (Avouons que « je vous promets » sonne différemment de « je
des prières ; ceux qui se trouvaient sur les sièges y prirent part en faisant quelques gestes, mais non exagérés comme ceux des Juifs d'aujourd'hui. Quand cette cérémonie fut finie, Siméon vint à l'endroit